Dans le cadre du projet du DSN, plusieurs expertises se conjuguent pour assurer le succès de cette transformation. Yasmine Djadel, conseillère en bâtiment à la Direction des actifs immobiliers (DAI), joue un rôle clé dans la coordination des travaux techniques indispensables à la bonne mise en place des infrastructures.
Quel est votre rôle au sein du projet DSN et comment vos compétences contribuent-elles à son avancement?
Je suis conseillère en bâtiment à la Direction des actifs immobiliers (DAI) et je détiens une formation en architecture. Dans le cadre du projet DSN, je coordonne les travaux relevant de la DAI, comme les visites de site, la construction, les travaux électriques et l’installation du mobilier. Je suis la personne de référence pour assurer la cohérence entre les équipes du DSN, de la DAI et de la Direction des ressources technologiques et informationnelles (DRTI). À ce titre, je valide les plans de travail mis à jour avant qu’ils ne soient partagés, afin d’assurer une coordination efficace et un suivi rigoureux. Je veille aussi à bien organiser les étapes des travaux, à favoriser la collaboration entre les intervenants et à résoudre les enjeux liés à l’aménagement des locaux.
Comment la coordination des travaux liés au DSN s’est-elle déroulée jusqu’à maintenant dans votre direction?
La coordination a été un défi puisque les travaux se déroulent dans un environnement où les activités normales se poursuivent en continu, ce qui nécessite de bien choisir les moments d’intervention afin de ne pas perturber le fonctionnement quotidien. Obtenir l’approbation de la protection contre les infections a également été une étape essentielle. Cette expérience nous a enseigné l’importance de la flexibilité, d’une communication constante et d’un travail d’équipe pour surmonter les obstacles.
Comment la collaboration entre la DAI, la DRTI et l’équipe DSN s’organise-t-elle pour assurer un bon partage de l’information?
La collaboration entre la DAI, la DRTI et l’équipe DSN repose sur des échanges constants et une coordination serrée. Pour assurer un bon partage de l’information, je joue un rôle central dans la validation des plans annotés, afin que tous les intervenants travaillent à partir des mêmes documents à jour. Cette rigueur permet d’éviter les erreurs, de limiter les retards et de maintenir une vision commune de l’avancement des travaux.
De quelle façon planifiez-vous les travaux en fonction de l’ordonnancement du projet DSN?
La planification tient compte de l’occupation des locaux, des contraintes des différents corps de métier, et des phases du projet. Je coordonne les interventions pour minimiser les impacts sur les opérations et respecter les échéanciers.
Quelles compétences trouvez-vous essentielles pour gérer un projet aussi technique et multidisciplinaire que celui du DSN?
La rigueur, la communication claire, la capacité d’adaptation, et la gestion efficace du temps sont essentielles. Il faut aussi savoir coordonner des équipes variées et résoudre rapidement les imprévus.
Qu’est-ce qui vous motive le plus dans votre contribution au DSN, et plus largement, au CIUSSS du Nord-de-l’Île-de-Montréal?
Ce qui me motive, c’est de participer à un projet qui a un impact concret sur la qualité des soins et le quotidien des équipes. Savoir que mon travail facilite la transformation numérique et améliore l’expérience des patients est très valorisant.
Si vous aviez un message à transmettre à vos collègues des autres directions concernant le DSN, quel serait-il?
Mon message serait de continuer à travailler ensemble avec engagement et collaboration. Ce virage numérique est un effort collectif, et c’est en unissant nos forces que nous réussirons à le faire rayonner au bénéfice de tous.